Programme du 3 février aux Ecuries van de Tram

https://www.facebook.com/events/942055289215818/

Adresse du jour Rue Rubens, 95 1030 Schaerbeek (Dépôt de Tram de Schaerbeek, Coin rue Royale Sainte Marie)

17h00-19h00 

Débat: Culture et Agriculture 

Voici le défi que s'est lancé le lieu qui nous accueille aujourd'hui, créer des liens entre ces deux secteurs qui partagent la même racine.

La Culture et l'Agriculture ont ceci de commun, elles nourrissent l'humanité!

Elle subissent aussi la crise, ce qui les oblige à revoir leurs modèles et à innover pour permettre à ceux et celles qui en vivent de continuer à faire leur travail.

Les Ecuries van de Tram propose un espace partagé dédié à ces deux secteurs. 

D'une part, le lieu organise des événements culturels et d'autre part il accueille un marché bio avec des producteurs.

Quels liens entre ces deux mondes?

Avant que l'industrie agroalimentaire ne prenne le pas, la Culture et l'Agriculture avaient des liens forts.

L'agriculture fixait le calendrier de la vie sociale des campagnes.

Les premiers artistes se déplaçaient de village en village et y apportaient la culture lors des grands événements qui ponctuaient l'année.

Aujourd'hui, ces liens sont beaucoup plus ténus,

Le mouvement du bio crée un contexte favorable pour réinventer ces liens et créer des opportunités. 

Un gros travail est fait dans ce sens par les Centres Culturels qui multiplient les initiatives dans leur travail de cohésion sociale et d'éducation permanente avec les acteurs de terrain

Débat animé en mode participatif par Guy Veny

Intevenants

Bertrand Castay à l'initiative du Marché Bio des Ecuries van de Tram

Annick et Didier Herin, artisants producteurs de viande Bio à Lesterny (Ardennes) www.bioherin.be

19h00 – 20h00 

Restauration et poursuite des échanges informels  

20h00 - 23h30 Présentation des artistes par Angelo Colabufalo


Toma vient nous présenter" Carte d'Identité Nationale & Carte d'Avantage National" 


Chaque année, la Belgique est sollicitée par un nombre croissant d’étrangers qui désirent obtenir la nationalité belge. Les raisons invoquées lors de cette demande sont autant sincères que farfelues.
Lorsque la raison à peine dissimulée est d’ordre social ou fiscal, l’acquisition de la carte d’identité belge se résume alors à un simple plan comptable. Le désir d’intégration au pays est absent de cette procédure de naturalisation. Il y aurait en toute logique une identité belge à épouser quand on devient Belge. Encore faudrait-il pouvoir la définir!
La véritable identité d’un individu évolue tout au long de sa vie. Les multiples différences de toutes natures des citoyens belges ne sauraient être définies sous la dénomination d’une identité unique. L’interprétation libre de l’identité nationale se positionne trop souvent comme un vecteur d’exclusion.

Démarche de l’artiste : Mes installations sont souvent élaborées à partir d’une réflexion sur un sujet d’actualité. Bien documenté, je développe une hypothèse qui se transforme en démonstration. La projection d’une probabilité matérialisée à travers un assemblage invite le spectateur à s’interroger à partir de cette nouvelle perception. L’oeuvre invite au débat

www.artomasbook.com
toma@artomasbook.com

https://youtu.be/Zx5jL3DmgxI


La Cie Circulez, Y a Rien à Voir vient nous présenter un spectacle seul en scène "Greta"

Élevée au début du XXème comme un garçon par un père aux idées avant-gardistes, Greta, jeune femme indépendante et flamboyante nous conte sa vie éphémère tout en grandeur et décadence dans le Paris des Années Folles.

« Ne sois dépendante de rien. Sinon tu te soumettras à d'indignes situations. Et tu courberas l'échine en te berçant d'illusions de jours meilleurs. Plus tu t'attaches, plus tu auras d'excuses ou de contraintes pour ne pas te rebeller. Sois vigilante. Ne te fais pas aliéner Greta. C'est si vite arrivé. »

Seul en scène à la croisée du conte et du cabaret, Greta est une plongée vertigineuse et troublante dans le kaléidoscope des sentiments humains, une histoire dont on ne peut sortir indemne.

Erwan Marjo est un artistes comdien qui pratique aussi le conte, la mise en scne et la scnographie.

En 2008 il crée La compagnie « Circulez Y a Rien à Voir » joue avec les marges, les codes et les genres; balise, jalonne et repousse les limites d’un univers hors-norme où les trajectoires de vies projetées sur scène offrent un autre regard sur notre société.

Après « Alice au Pays des Réveils » en 2008 et « Le Cabaret de la Cinquième Lune » en 2012, la compagnie s’attelle au développement d’un triptyque.

« Greta », créé en 2014 est le premier volet d’une série de biographies retraçant le parcours singulier de personnages atypiques.

De et avec : Erwan Marjo

Mise en scène : Erwan Marjo et Alain Montoisy

Création lumière : Olivier Grimmeau


Paul Parker vient nous présenter sa série "Natures Mortes"

Paul Parker Recycle les portraits et les transpose par un procédé tenu secret. Noyés de couleurs passées, les corps et les visages deviennent des reflets d'un trait idéalisé. On pense aux gravures qui faisaient rêver les gosses quand les livres d'écoles n'étaient pas encore en couleur

Chaque image a eu sa vie que j’essaie de retrouver et de retranscrire dans le cadre contemporain, compris les toiles des grands classiques que je traite en refaisant leur histoire.

Mes pigments, mes retouches, et mes enduits transforment les images qui parfois se mélangent à d’autres ou à mes symboles de référence évoquant astrologie, alchimie, magie ou religion. 

Par le marouflage sur canevas, elles trouvent leur forme définitive.

Profondeur, relief, mystère où chacun est libre de trouver un message. 

www.facebook.com/paul.parker.5891


Fred Mendes vient nous présenter un spectacle d'intervention "Art(r)iste"

Ce spectacle d’intervention est une satire de l’art fixé en tant qu’objet et phénomène du fait d’être instrumentalisé et utilisé dans tout et à  la fois dans rien, ce qui le rend à la fois uniforme et dénué de sens.  

Point de vue politique et artistique des raisons ou pas de l’art quand subsiste l’art social, l’art politique, l’art du discourt, de la communication,  ou l’art de la guerre….., quand même l’art devient une qualité détenu pour certains et dépossédé par les autres ou renié et censuré car ne faisant partie des registres conventionnels et moraux.

S’agissant des artistes qui font de l’art leur métier (si on peut parler encore de métier) beaucoup d’entre eux restent au carreau et empreinte la voie  du chômage auquel ils ne peuvent même pas prétendre une allocation suffisante pour assouvir leurs besoins.

Si le texte est ironique, il n’en est pas moins provocateur  car étant inscrit dans  le dire et par là  dans une forme de déclaration adressé à l’agora renouant avec à la fois avec l’éloquence,  le speech  et le live acte vacillant entre poésie surréaliste et performance scénique.

Fred Mendes  est un créateur multiple et hétéroclite, s'immergeant dans le théâtre en temps que comédien et danseur auquel il associe  sa pratique régulière d’écrivain.

Influencé par les arts urbains et le mouvement surréaliste, il oriente à cet égard son travail vers une démarche tout terrain à la fois brute et spontanée qui s’explique dans sa pratique par le fait de stimulations et d’improvisations créant des dynamiques d’expression.

"j’aime travailler sur ce que je j’appelle l’invisible pour le rendre visible, les mots sont pour moi des corps humains, des êtres en gestation à même de produire du langage, de la parole, de la connaissance, de la culture, du sens et de l’émotion » sa matière créative s'inspire  par les espaces physiques de l’environnement extérieur."

On le qualifie de peintre parolier caractérise par le poète performeur qui en même temps   justifie son engouement pour le live acte découlant  de l'art performatif.  Il affectionne l’art de la scène comme besoin essentiel et expérience singulière qu’il convoite en qualité de passionné.

Il met à contribution son savoir-faire au service du spectacle vivant.

Il conçoit et organise des ateliers d'écriture en  tant qu'animateur et formateur qu'il établit comme véritable laboratoire d’investigation artistique en conciliant  toute les formes d'’expressions orales, écrites , graphiques  et plastique mais aussi en appuyant sa démarche vers l’art du mouvement et le théâtre.

 http://cedelpasso.wix.com/palavras

http://short-edition.com/auteur/misteur-...


Besac Arthur vient nous présenter son album "Lever l'Encre"

Rêveur et aventurier, Besac Arthur se projette dans le monde et nous rend ses photographies des continents en musique.
Sa pop acoustique sans frontière est influencée par les grands espaces, que ce soit de l’Amérique du Nord aux sonorités de lapsteel, d’harmonica et de ukulélé, ou de l’Amérique du Sud saupoudrée de marimba.

 A 18 ans, Besac-Arthur découvre une vieille guitare ayant appartenu à son père arménien. Avec le son des cordes, la voix sort presque d’instinct et un mois plus tard, il met ses textes en musique.

Cinq ans après, un diplôme de journalisme sous le bras, il part sur les routes d’Espagne pendant 6 mois, vit de différents boulots dont musicien de rue, avant de revenir convaincu de l’importance de la musique dans sa vie. Après différents projets, orchestres, groupe de rock , … il trouve son nom Besac-Arthur en 2009 sous l’inspiration de son poète favori, Arthur Rimbaud et de Bob Dylan qui avait trouvé son nom de la même manière grâce au poète Dylan Thomas.

http://www.besacarthur.be/ 

https://www.facebook.com/BesacArthur/


Les Violons de Bruxelles 

Un peu partout dans le monde, la musique de Django Reinhardt est désormais célébrée, copiée, immortalisée, revitalisée. Trahie parfois. La plupart du temps, la formule instrumentale choisie est celle du légendaire Quintet du Hot Club de France : un violon, une guitare solo, une ou deux guitares rythmiques et une contrebasse.  Les violons de Bruxelles renversent cette formule quasi sacrée: si la contrebasse est bien présente, pour le reste, la donne est carrément inversée : une seule guitare et …trois violons. La présence de trois violonistes permet en effet de doter les ensembles d’un véritable travail polyphonique mais aussi d’offrir à l’improvisateur un accompagnement subtil et stimulant - harmonique mais aussi rythmique. Par ailleurs, les personnalités contrastées des trois violonistes permet l’éclosion d’un kaléidoscope de styles, d’émotions et de swing. Une vision nouvelle et originale de l’orchestre à cordes ! 

Tcha Limberger: violon, chant  Renaud Crols: violon  Alexandre Tripodi: violon alto  Renaud Dardenne: guitare  Sam Gerstmans: contrebasse

http://wooha.be/les-violons-de-bruxelles/

M'sieur 13 

M. inv. treizième lettre de l’alphabet

APOSTROPHE n.f. 1. Interpellation brusque et peu courtoise. 2. RHET. Figure de

style par laquelle un locuteur s'adresse directement à un animal, à un public.

SIEUR n.m. Le sieur Un tel : terme péjor. pour désigner qqn.

13 (NON commun, inv.) 1. LITT. Chanteur en série, « SeriAl Singer » héritier des

grandes gueules de la chanson française. 2. FIG. Artisan-Chansonnier de la

« Nouvelle Voyoucratie » (communauté d’échanges, de pensées et de combats) aussi

appelée « Raya » SYN. : infréquentable, indispensable, pas consensuel. 3. adv.

(lat. trans, au-delà). Indique l’intensité absolue. Il fait 13 ShÔw !

M’sieur13, l’Artisan-chAnsonnier décAdrant du pUnk-mUsette aux textes déplAfonnés

(chant, mirliton, shaker, charleston, cymbales, guitAlélé, brol à bruits & cAeterA)

est accompagné à la scène d’sa p’tite VoyoucrAtie : le grAnd Mé-Jean-Loup (guitare,

guitalélé, grosse caisse & bruits d’bouche) & plus si affinités, pour vous proposer

Des pestAcles version ChampAgne-CircUs, à la française, et à emporter <);o) Yeplà !

 

https://www.facebook.com/msieur13

www.youtube.com/msieur13

www.msieur13.bandcamp.com

23h00 - 00h30

Scène ouverte

Regie SonOmar Perez

LumièresEugénia Calado

Photos: Emmanuel Verjans

Equipe Vidéo et streaming: Jean-Louis Decoster, Kash Snow, Amine Lofti , Rachid Seddouk, Miles Martens

Production: Yves Martin

#lmdov

Partenaires: PoolPio, Euromagh TV, AVI Belgium